Améliorer la rentabilité et retrouver des marges de manœuvre par la réduction des pertes résultant des dysfonctionnements organisationnels et de la versatilité du comportement humain
L’inflation des coûts, la hausse des matières premières, de l’énergie, des salaires…et les difficultés de les répercuter dans les prix de vente, impactent aujourd’hui la rentabilité et les capacités d’investissement des entreprises.
Pour relever ces défis, l’entreprise dispose de réserves internes et importantes, mobilisables par la réduction des dysfonctionnements organisationnels inhérents à toute entreprise. En effet ceux-ci génèrent des manques à gagner et des pertes diffus, disséminés non pris en compte par les systèmes de gestion traditionnelle d’où leur appellation de coûts cachés.
👉 À titre d’exemple l’absentéisme peut générer :
❌ un retard dans la réalisation de tâches,
❌ un temps de réorganisation du service par le responsable,
❌ des défauts de qualité,
❌ des mécontentements, voire des pertes de clients …
Suivant les secteurs d’activités, leur niveau d’automatisation … ils représentent de 15 à 60.000 euros 💲💲 par personne et par an *. Ils sont constitués de surcharges, de surconsommation de matières, de sursalaires… mais aussi de sous-productivité, de non création de valeur, de pertes d’opportunité …
Ils trouvent leurs origines dans l’organisation et les méthodes de travail et de fonctionnement et les méthodes de gestion et de management. Ce sera l’objet de notre prochain article.
Une fois détectées, ces pertes sont réductibles de 30 à 70% par des actions d’amélioration et de mobilisation de l’ensemble des acteurs.
Ils constituent ainsi :
✔️ des réserves d’amélioration de la rentabilité
✔️des ressources recyclables dans des projets d’innovation, de développement, d’amélioration de la qualité …
* Résultats des travaux de recherche de l’ISEOR, Institut de Socio-économie des Entreprises et des Organisations et des interventions du cabinet en entreprise.